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Nouveauté 2018 : Le CICG se dote d’un nouvel espace de travail partagé !

Parce qu’il est important de pouvoir s’isoler quand on a besoin de prendre du recul, le CICG a désormais un espace dédié aux professionnels de santé. Ce lieu de travail partagé vous permettra de vous isoler et de travailler dans un espace adapté pour travailler sereinement et de manière efficace. Un espace de 300 m2, dédié à la santé au travail, est désormais accessible aux professionnels de santé, aux étudiants en santé et aux personnes en formation continue. Il est équipé de matériels performants, notamment des ordinateurs portables, tablettes, imprimantes et d’un espace de travail partagé. L’aménagement et le choix des matériaux ont été réfléchis afin de faciliter la circulation de l’air, de limiter les échanges de particules et de favoriser le confort de chacun. Les locaux du CICG sont ouverts à tous et sont destinés à favoriser le bien-être et la concentration des professionnels. Les locaux sont régulièrement nettoyés et désinfectés afin de garantir le respect de la santé de tous.

Maison de santé

Dans le cadre du plan « Ma santé 2022 » et de la Stratégie Nationale de Santé 2018-2022, le Gouvernement a lancé en 2018 un plan de transformation du système de santé afin de garantir l’accès de tous à des soins de qualité et de réduire les délais d’attente. L’objectif est de développer les maisons de santé pour renforcer le maillage territorial et offrir un accès plus rapide aux soins pour les patients les plus fragiles. Les futures maisons de santé seront organisées autour des besoins de santé des territoires. Pour répondre à ce défi, le Gouvernement a lancé un appel à projets dans le but de sélectionner 65 projets en régions. Les professionnels de santé et les étudiants pourront être sollicités pour participer à ce programme. Une convention de partenariat a été signée avec la Direction Régionale de l’Offre de Soins. Ce dispositif a pour objectif de créer un réseau de maisons de santé pluridisciplinaires dans chaque territoire. Les professionnels de santé sont invités à répondre à l’appel à projets. Les projets devront être déposés avant le 15 avril 2019 à l’adresse suivante : www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/appel_apr_2018.pdf

Formations

En ce début d’année, le CICG a accueilli 587 stagiaires et 1124 participants à des conférences.

Durant l’année 2018, le Centre de Congrès a accueilli 597 stagiaires et 1124 participants, soit une hausse de près de 10% du nombre de stagiaires et de 19% du nombre de participants par rapport à 2017.

Notre actualité

A la une du 29 janvier au 5 mars 2019 : « 5 ans de Médecine Générale, 5 ans de Médecine Interne », par le Dr Guillaume POULET, Chef de Clinique de la Faculté de Médecine de Nantes.

Toutes les actualités du Centre de Congrès à Nantes.

Nos réalisations

Rénovation

La rénovation de l’ensemble des locaux du Centre de Congrès a été un travail colossal pour la Ville de Nantes et Nantes Métropole.

Le chantier de rénovation a duré 31 mois et a mobilisé les équipes du CICG mais aussi de la Ville de Nantes et de Nantes Métropole.

Le chantier de rénovation a nécessité la démolition du bâtiment en R+1 du CICG. L’ensemble des locaux a été reconstruit en R+1 et R+2. Le rez-de-chaussée du bâtiment principal a été rénové ainsi que les locaux de la cafétéria qui sont désormais climatisés. Le rez-de-chaussée et les 6 premiers niveaux ont été rénovés pour accueillir une salle de formation médicale et les 6 étages ont été entièrement rénovés pour accueillir les 22 chambres des internes et des étudiants.

Les travaux de rénovation ont permis d’intégrer de nouveaux éléments fonctionnels et de nouveaux espaces de travail afin de rendre les espaces de travail plus ergonomiques et confortables pour l’ensemble des professionnels de santé.

Au CICG, les 60 professionnels de santé ont pu profiter de 4 salles de réunion et d’un espace de coworking. Les étudiants ont également eu la possibilité de s’installer dans des salles de cours, des salles de simulation et de travail en groupe. De plus, le CICG dispose d’un espace de restauration qui permet de faciliter les prises de rendez-vous pour les professionnels.

Nos actualités

Le Centre de Congrès fait peau neuve !

Le Centre de Congrès a accueilli les 10 et 11 décembre 2018 une trentaine de professionnels de santé pour l’inauguration des nouveaux locaux du CICG. Une convention de partenariat a été signée avec le CHU de Nantes et la Ville de Nantes.

A cette occasion, un défilé de mode a été organisé avec un atelier maquillage et un cocktail déjeunatoire. Un film a également été projeté sur les nouveaux locaux du Centre de Congrès et les travaux de rénovation qui ont été menés ces 5 dernières années.

La remise des clés de ces nouveaux locaux du Centre de Congrès a été effectuée par le Président de Nantes Métropole, M. Patrick CHALARD, et par le Directeur Général du CHU de Nantes, le Pr Philippe MEYER, ainsi que par le Président du CICG, le Dr Guillaume POULET.

Aménagement du Centre de Congrès

La réhabilitation du Centre de Congrès a permis de moderniser les locaux tout en préservant leur histoire et leur architecture.

Cet édifice datant de 1925, dont les fondations sont anciennes, a été conçu dans un esprit « haussmannien ».

Le CICG propose un large choix de salles. Toutes ont été aménagées de façon à répondre aux besoins spécifiques de chaque professionnel de santé et à assurer un cadre de travail propice à la concentration et la réflexion.

Le CICG dispose également de deux salles de formation médicale pour les étudiants et les internes en médecine.

Les espaces de travail ont été repensés en fonction des besoins spécifiques des professionnels de santé et leur ont été mis à disposition.

Les équipements sont nombreux et variés afin de répondre aux besoins spécifiques de chaque professionnel de santé.

L’opération « 1, 2, 3 SANTÉ »

L’opération « 1, 2, 3 Santé » est une opération conduite par le CICG en partenariat avec la Ville de Nantes.

Dans le cadre de cette opération, le CICG a accueilli une cinquantaine de professionnels de santé et étudiants pour des ateliers de sensibilisation et de formation au cours desquels ils ont découvert les dispositifs d’aide à la santé.

Le CICG a également participé au 1er challenge « 1, 2, 3 SANTÉ » sur le territoire nantais.

Pour la deuxième année, l’opération « 1, 2, 3 Santé » a pris une dimension européenne en accueillant des professionnels et étudiants d’autres pays européens.

Cette année, 117 professionnels de santé et étudiants de 9 pays européens ont participé à ce challenge. Ils ont réalisé des vidéos sur le thème de la « santé de demain » dans le cadre de la conférence internationale « 1, 2, 3 Santé ».

La cérémonie de clôture du challenge « 1, 2, 3 Santé » s’est déroulée le 11 mars à l’hôtel de Ville de Nantes.

Pour la deuxième année, le CICG a accueilli les professionnels de santé et étudiants participant à l’opération « 1, 2, 3 Santé ».

Pour la deuxième année consécutive, le CICG a accueilli les professionnels de santé et étudiants participant à l’opération « 1, 2, 3 Santé ».

C'est un véritable casse-tête qui peut s'avérer parfois insurmontable.

Il existe trois cas de figure pour obtenir son autorisation de mise sur le marché (AMM) : le médicament est autorisé, mais il n'est pas commercialisé, le médicament n'est pas encore autorisé mais il est commercialisé, et enfin, il n'existe pas d'AMM.

La première et dernière situation sont les plus répandues. En 2017, 85 % des médicaments commercialisés l'étaient sans autorisation de mise sur le marché (AMM).

Quelle est la différence entre AMM et AMC ?

Selon le ministère de la santé, l'AMM est la "qualification officielle" du médicament et correspond à une autorisation de mise sur le marché (AMM).

L'AMM est délivrée à un médicament par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).

L'AMC correspond à une autorisation temporaire d'utilisation (ATU). Elle est délivrée dans les cas où un médicament est disponible sur le marché mais pas encore autorisé par le Comité d'experts en matière d'AMM (Comité économique des produits de santé).

Une ATU permet aux professionnels de santé et aux patients de prendre le médicament dans les conditions de sa prescription initiale.

Le Comité économique des produits de santé (CEPS) évalue régulièrement les données de remboursement des médicaments par l'assurance maladie. L'objectif est d'ajuster le montant du prix des médicaments remboursés par l'assurance maladie.

Ces données peuvent être saisies directement sur le site du Ministère de la Santé.

En 2017, 158 médicaments en ont fait la demande au CEPS. 27 d'entre eux ont été autorisés à la commercialisation avant même le lancement de leur AMM.

Comment obtenir une AMM d'un médicament ?

Pour obtenir une AMM d'un médicament, le laboratoire ou l'éditeur de la molécule doit déposer un dossier auprès du Comité économique des produits de santé (CEPS).

Le CEPS est composé de 4 experts indépendants :

- un spécialiste des produits de santé (anciennement nommé le Conseil économique des produits de santé),

- un pharmacien,

- un expert en économie de la santé,

- un expert en biostatistique et épidémiologie.

Une fois le dossier déposé et l'étude du dossier médical effectuée, le CEPS donne une réponse à l'éditeur dans un délai de 4 à 6 semaines.

Si le dossier est accepté, l'éditeur doit déposer une AMM dans les 6 mois.

Si le dossier est refusé, les raisons qui motivent ce refus sont étudiées.

L'éditeur ne peut plus déposer de nouveau dossier, il doit alors changer de molécule ou de conditionnement.

En 2017, le CEPS a rejeté 21 dossiers.

La décision est notifiée à l'éditeur. Cette notification est ensuite transmise aux autorités de santé.

Les délais de traitement des dossiers sont très variables. En 2017, le délai moyen de traitement du CEPS était de 3 mois, 34 % des demandes étaient refusées et 22 % ont été transmises à la Haute Autorité de santé (HAS).

Qu'est-ce que l'AMM d'un médicament ?

L'autorisation de mise sur le marché (AMM) est délivrée à un médicament par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Elle est indispensable à la commercialisation du médicament dans tous les pays européens.

La demande d'AMM se fait via le formulaire de demande de mise sur le marché (formulaire 1556).

L'ANSM émet un avis favorable ou défavorable à la commercialisation du médicament.

Les médicaments commercialisés sans AMM sont tous des génériques et leur remboursement est identique pour tous.

Qu'est-ce que l'AMC d'un médicament ?

L'autorisation temporaire d'utilisation (ATU) est délivrée dans les cas où un médicament est par le Comité économique des produits de santé (CEPS).

Pour les ATU, l'ANSM émet un avis favorable ou défavorable sur le médicament en fonction des données de remboursement et des données du laboratoire. Les ATU sont destinées à pallier le manque d'un médicament qui est disponible sur le marché mais pas encore autorisé. Ces ATU sont délivrées dans les 6 mois.

Quel est le coût de l'autorisation de mise sur le marché ?

Le coût de l'AMM est supporté par la collectivité et la CPAM qui rembourse les médicaments. En moyenne, la somme allouée à la prise en charge de l'AMM représente 15 % du prix de revient d'un médicament vendu au public.

La prise en charge par la sécurité sociale d'un médicament est fixée par l'assurance maladie.

Il est important de rappeler que le coût d'un médicament ne comprend ni les frais de fonctionnement de la Sécurité Sociale, ni les coûts indirects liés à la production ou à la commercialisation du médicament.

En effet, la production d'un médicament peut entraîner des coûts indirects importants :

Il faut également prendre en compte les dépenses indirectes de fabrication et de commercialisation.

Les coûts indirects de la fabrication d'un médicament

Certains coûts de fabrication indirects peuvent avoir une incidence sur le prix des médicaments ou sur leur remboursement.

En 2017, les dépenses indirectes liées à la fabrication d'un médicament s'élevaient à 1 056 millions d'euros.

La liste ci-dessous ne présente pas tous les coûts indirects de fabrication, il existe plusieurs méthodes pour les calculer :

La liste complète est disponible sur le site du CEPS, le comité économique des produits de santé.

Les coûts indirects liés à la commercialisation d'un médicament

La commercialisation d'un médicament est financée à 85 % par la vente. Les 15 % restants sont constitués des dépenses indirectes de fabrication et de commercialisation.

En 2017, la somme allouée par la sécurité sociale aux médicaments s'élevait à 1,6 milliard d'euros.

Que faire en cas de refus de l'AMM ?

Le CEPS a rejeté 433 demandes d'AMM pour 2017. 34 % des demandes sont refusées et 22 % ont été transmises à la HAS. Les raisons du refus sont analysées dans les 6 mois par la HAS. L'évaluation de l'AMM est alors prolongée de 6 mois.

Si le CEPS a refusé une demande, il est possible de demander une ATU pour le médicament.

L'ANSM peut également refuser une demande d'AMM. Elle a rejeté 12 demandes d'AMM pour 2017. Le CEPS a rejeté 38 % des demandes d'AMM et 27 % des demandes d'ATU.

Si l'ANSM a refusé une demande d'AMM, il est possible de déposer une AMC pour le médicament.

L'AMC est délivrée dans les cas où le médicament n'est pas commercialisé mais qu'il est disponible sur le marché. Le CEPS a rejeté 2 AMC pour 2017.

Pourquoi le CEPS refuse-t-il une AMM ?

Certains médicaments ont été retirés du marché avant même leur AMM en raison de l'absence de bénéfices démontrés.

Le CEPS peut refuser l'AMM d'un médicament si le médicament est déjà commercialisé et que sa commercialisation est suspendue.

En 2017, 84 % des AMM ont été refusées.

Le CEPS peut aussi refuser une AMM si le médicament présente des effets indésirables trop importants.

En 2017, le CEPS a rejeté 17 demandes d'AMM.

Comment est fixée l'AMM d'un médicament ?

L'autorisation de mise sur le marché est accordée par le CEPS sur la base de deux critères principaux :