Le lendemain de son arrestation au Chili, le 21 août, le professeur de médecine Alain Lamarre, qui est en charge de la recherche à la Faculté de médecine de l’université de Montréal, a révélé que ce dernier aurait été enlevé à son domicile le 9 août, puis transporté en hélicoptère à l’hôpital général de Montréal (HGM). Il s’est vu remettre le 15 août une « ordonnance de détention provisoire ». Selon son avocat, Me Éric Dupont-Moretti, il a été enlevé et emmené par les paramilitaires à la station de métro Square-Victoria afin de lui faire subir des tortures physiques et psychologiques pendant deux jours. Son avocat, Me Richard Delgado, indique que le professeur Lamarre a été interrogé par les paramilitaires pendant 48 heures, puis a été libéré sans avoir été interrogé au sujet de ses déplacements à la station Square-Victoria.
La police a aussi découvert que le professeur Lamarre était en possession d’une somme d’argent considérable, soit un peu moins de 100 000 $.
La déposition des policiers de la Division des crimes contre la personne de la Sûreté du Québec, effectuée à la mi-juillet, a révélé que le professeur Lamarre est le directeur de recherche du Centre de recherche interdisciplinaire sur la biologie humaine et la santé, un centre affilié à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal et qui dépend de la Faculté de médecine, ainsi que de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal (IUSMM).
de la Division des crimes contre la personne de la Sûreté du Québec, réalisée à la mi-juillet, a révélé que le professeur Lamarre est le directeur de recherche du Centre de recherche interdisciplinaire sur la biologie humaine et la santé, un centre affilié à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal et qui dépend de la Faculté de médecine, ainsi que de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal (IUSMM).
Selon les documents judiciaires, le professeur Lamarre a été enlevé à son domicile situé au 2660, rue des Carrières, le 21 août. Après avoir été interrogé à l’hôpital général de Montréal, il a été transporté en hélicoptère jusqu’à l’hôpital général de Montréal le 9 août. Selon les documents judiciaires, le professeur Lamarre a été enlevé puis emmené à la station de métro Square-Victoria afin de subir des tortures physiques et psychologiques.
Sa disparition, le 21 août, aurait eu lieu alors que le professeur Lamarre avait reçu plusieurs menaces.
Le docteur Lamarre est un médecin de profession qui a toujours voulu aider les autres : il a fondé l’Institut pour la recherche en santé mentale de Montréal (IUSMM), qui fait partie du centre de recherche interdisciplinaire sur la biologie humaine et la santé (CRHUS), et il dirige la Chaire de recherche du Canada en neurobiologie et psychiatrie intégrative de la Faculté de médecine de l’Université de Montréal.
Selon le quotidien montréalais Le Devoir, il a été enlevé en compagnie de son fils, Yoan, par un groupe paramilitaire de la zone militaire 52, une unité de la Police militaire chargée de la traque des criminels de la zone militaire 52. La Police militaire affirme n’avoir jamais eu connaissance de la présence d’Alain Lamarre à la station Square-Victoria.
La police fédérale canadienne a lancé un appel à la population, le 23 août, afin de retrouver Alain Lamarre. Il est le fils de Pierre-Yves Lamarre, un ancien pilote d’hélicoptère qui a été abattu en 2014. Le père du professeur Lamarre a été abattu en 2014, alors qu’il conduisait un hélicoptère militaire. Ce dernier a été abattu par un hélicoptère des forces armées chiliennes alors qu’il se trouvait à bord d’un hélicoptère civil en plein vol. Le pilote chilien a été tué par les tirs de ses collègues chiliens des forces armées, qui ont abattu l’homme qui conduisait l’hélicoptère militaire.
Le 26 juillet, une plainte contre X a été déposée à la Division des crimes contre la personne de la Sûreté du Québec pour « enlèvement et séquestration » au motif que le professeur Lamarre aurait été enlevé à son domicile le 9 août, puis transporté en hélicoptère à l’hôpital général de Montréal.
Le 27 juillet, un rapport de police a été déposé à la Division des crimes contre la personne de la Sûreté du Québec pour « enlèvement et séquestration ».
Selon le document, le professeur Lamarre a été enlevé le 9 août à son domicile situé au 2660, rue des Carrières à Montréal et il a été transporté par les paramilitaires dans une station de métro située sur la rue de Sussex.
Le 28 juillet, la police a déclaré que les policiers qui ont trouvé le professeur Lamarre en possession d’une somme d’argent considérable à son domicile situé au 2660, rue des Carrières à Montréal étaient « sur la piste des paramilitaires ». Les policiers ont fait enquête pour déterminer la provenance de la somme d’argent et les circonstances du vol de l’argent qui aurait été trouvé dans la résidence de la rue des Carrières. Le 30 juillet, la police a remis le mandat de perquisition qui a permis d’identifier le groupe paramilitaire responsable de l’enlèvement du professeur Lamarre comme étant le Paramilitario 52 (P52), selon un document publié par le Devoir.
D’après ce document, le P52 a enlevé le professeur Lamarre et son fils en compagnie de deux paramilitaires, le commandant de la police militaire du Québec et le chef d’un groupe paramilitaire.
Selon le document, le commandant de la police militaire du Québec a déclaré que les deux paramilitaires ont pris le professeur Lamarre et son fils en direction de la station Square-Victoria. Le 15 août, le professeur Lamarre a été transporté à l’hôpital général de Montréal par les paramilitaires dans un hélicoptère pour y subir des tortures physiques, puis il a été libéré sans que le médecin ait été interrogé sur son interrogatoire.
Il est impossible de confirmer la véracité des informations publiées dans le document, car elles ne proviennent pas de sources anonymes. Selon le quotidien Le Devoir, la police a affirmé que le médecin de l’université de Montréal avait reçu une « ordonnance de détention provisoire » pour le motif que la disparition du professeur Lamarre et de son fils a été signalée le 21 août.
Selon le , la police a aussi mentionné que le professeur Lamarre et son fils sont toujours portés disparus. Le 28 juillet, le a rapporté que le professeur Lamarre et son fils sont toujours portés disparus depuis le 21 août.
Lorsque Le Devoir l’a contacté par courriel, le directeur du CRHUS, Me Éric Dupont-Moretti, n’a pas voulu commenter les informations relatives à la disparition du professeur Lamarre et de son fils.
La Sûreté du Québec a déclaré en fin de journée, le 31 juillet, que le professeur Lamarre a été enlevé le 9 août à son domicile situé au 2660, rue des Carrières à Montréal, puis transporté par les paramilitaires à l’hôpital général de Montréal pour subir des tortures physiques et des tortures psychologiques. Le 28 juillet, il a été transporté à l’hôpital général de Montréal par les paramilitaires dans un hélicoptère pour y subir des tortures physiques, puis il a été libéré sans que le médecin ait été interrogé sur son interrogatoire.
La police a publié un communiqué indiquant que la disparition du professeur Lamarre et de son fils était signalée le 21 août.
Une note d’information a été publiée sur le site web de la police de Montréal le 29 juillet.
Des citoyens ont rapporté la disparition de la personne concernée à la Sûreté du Québec. L’une des personnes qui ont fait cette démarche a reçu une lettre qui l’a informée de la disparition d’Alain Lamarre et de son fils Yoan le 21 août.
La Sûreté du Québec a lancé un appel à la population, le 23 août, afin de retrouver le professeur Lamarre. Ce dernier a été abattu par les tirs de ses collègues chiliens des forces armées.
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